top of page
Shifting Grounds Auswahl (57)_edited.jpg

Elle voyagera beaucoup pour des rencontres, ateliers et spectacles. Fort de ces expériences, en 2012, elle continue à travailler et questionner l’espace de la femme spécialement au Sénégal, lauréate du programme visa pour la création de l ‘Institut Français de Paris, elle crée, Regarde-moi Encore (un solo de 35mn), qui bénéficie d’une tournée Africaine et lui donne du succès dans le paysage chorégraphique du continent.

 Cette pièce jouera aussi en Europe dont, les rencontres chorégraphiques de Seine Saint Denis en France, au festival Instance à Chalon-sur Saône, à Strasbourg au festival Nouvelle 2013, En Allemagne, au Brésil,…

En 2014, elle obtient l’aide à la création par l’Institut Français de Paris et crée "Regarde moi ! ce que nous sommes" qui deviendra "Le Bal du Cercle "et jouera aux rencontres chorégraphiques à Tunis, au Pavillon Noir  à Aix en Provence et au festival d’Avignon en 2015.

Elle crée le duo « CE QUI RESTERA »  en 2015 

Elle Co-chorégraphie ILLUSION avec le chorégraphe Béninois Marcel Gbeffa en 2016, par la production de l’Institut Français de Dakar et Cotonou.Elle collabore avec l'artiste poète Samira Négrouche pour céer le projet " Traces "  

2020,elle crée, « PERFORMANCE D…, » et pour 2023

« Et quand le soleil se lève ! » 

Née à Dakar , Fatou Cissé débute très jeune sa carrière en 1989 en se formant a l’afro Jazz moderne au côté son père Ousmane Noel Cissé chorégraphe.
En 1996 elle intègre, le Ballet de danse Guinéenne Bougarabou et se forme aux danses traditionnelles

Elle suivra plus tard des ateliers de composition avec Michelle Rioux, chorégraphe canadienne et participe à plusieurs masters class avec différent chorégraphe du continent.

En 2000, Andreya Ouamba la sollicite pour participer à la création de la Compagnie 1er temps dont elle fut interprète permanente et assistante au chorégraphe, pendant 14 ans .Fatou danse la plupart des pièces de la compagnie : dont Improvisé 2 qui remporte le premier prix des rencontres chorégraphiques de l’Afrique et de l’océan Indien à Paris en 2006.

Les créations de la Compagnie, voyageront un peu partout dans le monde .Elle danse PICC, un solo de Gacirah Diagne.
Elle interprétera CARMEN, chorégraphiée par Irène Tassembedo du Burkina Faso et danse ‘’ Shiffting Ground’’de Vera Sander, puis tournera aux Etat Unis dans The good Dance /Dakar Brooklyn’’ une collaboration des chorégraphes, Régie Wilson et Andreya Ouamba.

Elle suivra en 2004 différents ateliers de composition au centre chorégraphique
Charleroi de Bruxelles et bien plus tard au Centre Nationale de la danse de Paris.
Elle décide de prendre son envol en créant en 2004 « XALAAT», un solo, et Co-chorégraphie « BINDAN » avec Esther Baker, une envie qui la motive à vouloir développer des choses au Sénégal, surtout en tant que femme.

Fatou est l’une de ces quelques femmes dans sa génération d’interprètes et chorégraphe qui évolue et marque sa place dans cette culture de danse moderne et contemporaine au Sénégal.Elle construit et s’impose dans la petite masse de chorégraphe féminine en Afrique de l’ouest.

Après la première création de ‘’XALAAT’’en 2004 et autres collaborations qui ont suivi, la CIE FATOU CISSE ,qui porte le nom de la chorégraphe se structure en 2012.Elle met en place en 2019,les rencontres performatives ’’ la ville en mouv’ment’’les arts dans la rue.

bottom of page